C’était une grande gageure que de se lancer, nous, les petits VL, dans la production d’une œuvre qu’aucun théâtre n’avait plus osé monter depuis 1919. Trop difficile, tant pour la musique que par le texte, trop de chanteurs à voix et de grande capacité, trop d’inconnues ???
Quelles furent les vraies raisons pour laisser dans l’oubli une œuvre aussi complète. Tout s’y retrouve : le wallon avec des mots choisis, la musique, comme dira un quidam, « c’est de l’Offenbach », la gaîté en présence des fous, les chansons d’amour plus conventionnelles, la psychologie des personnages digne des pièces de Molière. Que de superlatifs pour ce « Macasse » !
Quelles furent les vraies raisons pour laisser dans l’oubli une œuvre aussi complète. Tout s’y retrouve : le wallon avec des mots choisis, la musique, comme dira un quidam, « c’est de l’Offenbach », la gaîté en présence des fous, les chansons d’amour plus conventionnelles, la psychologie des personnages digne des pièces de Molière. Que de superlatifs pour ce « Macasse » !
Dans le quartier d’Outremeuse, et bien au-delà de Liège, celui qui a eu le bonheur de nous faire confiance ne tarit pas d’éloge.
Avec un décor minimal et une mise en scène « soft » (le nombre de choristes aux VL dépassant de loin les habitudes de la scène du Trianon), chacun y a mis du sien pour transmettre le bonheur intérieur au chaleureux public qui réagit, ma foi, avec beaucoup de sensibilité tant pour rire que pour pleurer. Pas mal de dames sortaient de la salle les larmes aux yeux.
Et les acteurs, professionnels jusqu’au bout des ongles, utilisant leur dernier recoin de mémoire pour déclamer ces textes si chargés de vrai wallon ! Nous ne pouvons que les admirer, les féliciter et grandement les remercier. Quel professionnalisme ! Grâce leur soit rendue !
AMVOE
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